Collaborateurs
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Brigitte Haentjens -1 post
Brigitte Haentjens est écrivaine et metteure en scène. Elle a été directrice du Théâtre du Nouvel-Ontario de 1982 à 1990 et a fondé la compagnie Sibyllines en 1997. Elle a remporté le Prix Siminovitch de la mise en scène, le Prix Gascon-Thomas de même que plusieurs prix Masque. Dans les dernières années, elle a publié aux Éditions Prise de Parole trois récits, soit Blanchie (2008), Une femme comblée (2012) et D’éclats de peine (2013). Nouvelle directrice artistique du théâtre français du CNA, elle vient de faire paraître Un regard qui te fracasse : propos sur le théâtre et la mise en scène.
Bronwyn Currey -1 post
Bronwyn Currey est étudiante en histoire et en études françaises et francophones à l’Université de Victoria. Elle rédige sa thèse de spécialisation sur la complexité de l’histoire publique du racisme dans sa petite ville natale de Port Alberni, en Colombie-Britannique. Après avoir obtenu son diplôme au printemps 2024, elle prévoit d’obtenir un baccalauréat en éducation et de devenir enseignante au secondaire.
Bruno Trentini -1 post
Bruno Trentini est docteur en esthétique et sciences de l’art et enseigne la philosophie de l’art à l’Université Paris I. Ses travaux menés en thèse sur l'autoréférence en art l'ont conduit à réfléchir sur les relations entre l'esthétique et la cognition. Dans ce contexte, ses recherches actuelles portent notamment sur les processus immersifs mis en jeu lors de l’expérience esthétique. S’intéressant de manière critique aux démarches de naturalisation de l’esthétique, il s’inscrit dans une embodied aesthetics. Il a publié de nombreux articles sur ces sujets dans des ouvrages collectifs ou dans des revues comme Cahier ReMix, la Nouvelle Revue d’Esthétique, Figures de l’art, Journal of Aesthetics & Culture. Il a écrit l'ouvrage Une esthétique de l'ellipse – un art sans espace ni temps paru en 2008 aux éditions de l'Harmattan, collection « L’art en bref ». Il est également directeur de publication de la revue Proteus – cahiers des théories de l'art.
Carl Sven Laberge -1 post
Entre Québec, l’étrange et l’absurde, entre un baccalauréat en psychologie, un certificat en création littéraire et un baccalauréat en enseignement du français, langue seconde, Carl Sven Laberge s’accroche aux mots. Il multiplie les nouvelles et s’emporte par intermittence dans un projet de roman. On retrouve quelques-uns de ses textes dans …Lapsus.
Carole Bisenius-Penin -1 post
Carole Bisenius-Penin est maître de conférences en littérature contemporaine à l’Université de Lorraine, membre du CREM (Centre de recherche les médiations) et membre associé du CRLC (Centre de recherche en littérature comparée, Paris IV-Sorbonne). Co-organisatrice du premier colloque international dédié à l’Oulipo en France, ses travaux portent sur l’Oulipo et la littérature à contraintes. Ce travail a également focalisé ses recherches sur l’art contemporain et sur l’atelier d’écriture universitaire, à travers une réflexion sur la création littéraire, tant du point de vue scriptural que lectoral (l’acte créateur, la problématique de l’imitation, l’inspiration, les postures). carole.bisenius-penin@univ-lorraine.fr
Caroline Brière
Caroline Thérien -2 posts
Caroline Thérien est étudiante à la maîtrise en études françaises à l’Université de Sherbrooke, son mémoire de recherche-création s’intéresse aux effets de cotextualisation au sein du recueil de nouvelles brèves. Elle a publié quelques textes dans la revue littéraire de l’Université de Montréal, Le Pied. carolinetherien@gmail.com
Caroline Loranger -1 post
Caroline Loranger est doctorante au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal. Elle travaille, sous la direction de Karim Larose, à l’élaboration d’une thèse portant sur l’évolution du genre romanesque au Québec au cours de l’entre-deux-guerres. Ses activités de recherche portent principalement sur la théorie du roman, la représentation de la langue orale en littérature, le plurilinguisme, ainsi que l’histoire de la réception littéraire au Québec.
Cassie Bérard -9 posts
Cassie Bérard est professeure régulière au Département d'études littéraires de l'UQÀM et chercheure régulière à FIGURA, le Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. Elle est l’auteure de deux romans, D’autres fantômes (Druide, 2014) et Qu’il est bon de se noyer (Druide, 2016), et de plusieurs fictions brèves publiées dans des revues québécoises. Ses recherches en théorie et pratique de la création littéraire portent sur les artifices de la fiction, plus particulièrement les narrations problématiques, et l’expérience du soupçon qu’ils entretiennent.