Conférence avec Valérie Forgues
Le 9 mars dernier, l’autrice et directrice littéraire Valérie Forgues s’est entretenue avec Maxime Plamondon à propos de la voix de l’auteur.
Le 9 mars dernier, l’autrice et directrice littéraire Valérie Forgues s’est entretenue avec Maxime Plamondon à propos de la voix de l’auteur.
Le 10 février dernier, l’autrice et éditrice Fanie Demeule s’est entretenue avec Maxime Plamondon à propos des rencontres rendues possibles par la littérature. Le livre est-il un espace de socialisation ? L’écrivain peut-il […]
Le 18 novembre dernier, l’essayiste et communicateur Mickaël Bergeron s’est entretenu avec Maxime Plamondon au sujet de de l’injustice et de l’indignation. Quel est l’état de la parole et de l’écoute au sein de notre société ? Est-il encore possible de créer des ponts dans un monde aussi polarisé ?
Le 14 octobre dernier, l’autrice Maude Déry s’est entretenue avec Maxime Plamondon au sujet de l’échec parfois vécu dans le monde littéraire et universitaire. L’échec est-il une fatalité ? Peut-il être un moteur de création ? Existe-t-il une « culture de l’échec » dans nos institutions ?
Le 4 décembre 2019, à l’Université Laval, Stéphane Ledien s’est entretenu avec Leïka Morin. Il a défini le genre littéraire du roman noir et a cerné son entrée dans le milieu […]
Dans le cadre du cycle de conférences du Crachoir de Flaubert, le 10 octobre 2019 à l’Université Laval, Clara Dupuis-Morency, autrice du livre Mère d’invention (Tryptique, 2018), questionne la position et […]
Les autrices Élie Maure et Katherine Raymond se sont entretenues avec Leïka Morin au sujet de leur démarche littéraire, plus précisément à propos de leurs romans respectifs Le cœur de Berlin (Les Allusifs, 2016) et Matricide (XYZ, 2017).
Le 22 novembre 2018 à la Librairie Saint Jean-Baptiste de Québec, Nicholas Giguère a clos sa résidence d’écriture 2017-2018 auprès du Crachoir de Flaubert avec une riche conférence portant le titre : « L’écriture du réel, le réel d’écriture ».
Les personnes invitées discutent notamment de la pratique littéraire et de son apport à une réflexion critique, que celle-ci ait lieu ou non dans un cadre universitaire. Elles se demandent également si la théorie serait l’apanage du milieu universitaire.
L’incorporation d’éléments de traduction dans le récit peut-elle ouvrir un espace où des significations supplémentaires peuvent émerger? Si oui, que pourrait-on y trouver?