Overdose
Comme j’aimerais réchauffer les plantes de mes pieds en bas tout au milieu du salon ovale et vide maintenant, mais je monte! Comme un grand O de fumée échappé de la pipe de papa, je m’efface dans l’espace infini. Mes joues frôlent les branches hautes de nos vieux cèdres; ces cèdres dont j’embrassais les troncs chaque soir avant de courir le long des rues empruntées par des gens raisonnables dans leurs autos respectables. Ils vont me manquer, ces arbres-là. Peut-être pleurent-ils maintenant pour moi.