NORMPORN
Chez Alix je n’ai pas de sexe je m’en câlisse homme et femme confondus désirs confondus Chez Alix entre minuit et 6h on crie ensemble : FUCK LE GENRE (Pis on danse.)
Chez Alix je n’ai pas de sexe je m’en câlisse homme et femme confondus désirs confondus Chez Alix entre minuit et 6h on crie ensemble : FUCK LE GENRE (Pis on danse.)
Je collectionne de toutes petites victoires au fond de la gorge des sourires des caresses au bas des reins
Menu principal. Vous avez quatre nouvelles angoisses. Pour écouter vos angoisses, faites le un. Pour envoyer une angoisse à une autre personne, faites le deux. Pour changer votre message d’accueil, faites le trois. Pour réentendre ces choix, faites le carré. sept sept sept sept sept sept sept sept Désolé, ce choix n’est pas disponible. Première nouvelle angoisse. Envoyée le 27 février 2014 à 15h35 de votre j-o-b d-e m-a-r-d-e. non! non je suis tout seul à mes poignets ils sont les autres pas ailleurs à mes poignets pas dans mes os tout seul je suis les autres laissez-moi les autres tout seul les autres
Oh oui! Oh oui oh oui oh oui oh oui oh oui oh oui Je chantais ça souvent Avec des langues entre les cuisses Des langues entre les lèvres Des langues entre les vagues Salive et cyprine
Nous avons laissé le robinet couler une goutte sur un silence encrassé les cerveaux en compote un silence à la fois et tous les silences se meurent à la fois.
tu es seule et laide édifiée au statut de victime timorée soudoyée yéti des temps nouveaux veau de lait d’une chienne de vie
Je virtuose ce que j’ai dans la tête. Quand ça sort, ça sort vite, ça sort mal. Ça sort tout croche, comme quand on se vomit le corps parce qu’on a mal à son cœur, mais que l’expulsion ne soulage pas.
t’as tordu le silence jeté sur moi perché sur les branches de ma mémoire laiteuse ne voyant qu’un fond de joie qui s’écoule goutte à goutte par mes trous mes orbites gonflées d’orgueil
J'aimerais vraiment dire un truc important, mais je sens que je vais passer à côté. Je suis bien cette fille, la fille qui passe à côté. Je sais pas quand, exactement, c'est possible de sentir le trou qui s'installe en moi. On pourrait y jeter les corps d'une centaine d'hommes. Au moins. On pourrait m'oublier, si je lève pas la main.
Le projet, Mourir pour la première fois, est une expérience développée entre le sujet, qui est aussi spectateur, la photographe et l’image. Durant cette expérience, le sujet est transformé en objet par le procédé photographique. Le sujet, ou la personne photographiée pose et devient le spectre d’elle-même, en composant une duplication de son image.