Si la solitude se boit, l’absinthe se déguste
La solitude littéraire fascine. En dépit du fait que le concept du « besoin de solitude » ne soit pas exclusif au domaine littéraire, la solitude littéraire, elle, s’enveloppe d’une aura mystique. Il semble que, contrairement à la solitude pragmatique du chercheur en neurobiologie absoute à grands coups de c’est normal qu’il soit seul, il faut qu’il se concentre, bon sang!, la solitude littéraire a ceci d’incompréhensible que l’écrivain, lui, ne se concentre pas; il cherche l’inspiration.