La fille de camionneur qui souhaitait devenir écrivaine
Je furetais le site des Libraires à la recherche de nouvelles lectures lorsque je suis tombée sur ce titre : Pourquoi je n’écris pas. Réflexions sur la culture de la pauvreté.
Je furetais le site des Libraires à la recherche de nouvelles lectures lorsque je suis tombée sur ce titre : Pourquoi je n’écris pas. Réflexions sur la culture de la pauvreté.
Sur le roman La valeur de l’inconnue de Cassie Bérard, La Mèche, 2019.
Qu’arrive-t-il lorsque l’on tente de conjuguer les découvertes de la physique quantique et les théories de la […]
Si le capitalisme, énoncent Müller et Ruoff, demeure une catastrophe pour l'humanité, l'échec édifie le point de départ du polar.
Alors, que raconte cette Histoire de la Série Noire ? Première chose, l’évolution de celle que les initiés ont surnommée la « dame en jaune et noir » y est retracée au fil des tendances du roman policier, surtout anglo-saxon au départ. Pour le bonheur de ceux et celles qui aspirent à écrire du ...
Les écritures et performances de soi sont souvent accusées – à tort – de narcissisme et d’égoïsme. Ce que l’essai de Leroux a de particulier, c’est de redonner ses lettres de noblesse à ce type d’entreprise en la réfléchissant par rapport à ce qu’elle est vraiment : un exercice sérieux de réflexion autour d’un Nous se servant de Je comme matériau de base, parce que nous écrivons le mieux ce que nous connaissons et ce que nous avons nous-mêmes expérimenté.
Curieusement, le discours de réception du Nobel de littérature prononcé par Claude Simon en 1985 prend toutes les allures d’une apologie. Étrange, en effet, que ce dernier ait à se défendre, alors que la prestigieuse académie, en octroyant ce prix, récompense l’écrivain et son œuvre.
L’histoire du roman, parce qu’elle est humaine, c’est-à-dire qu’elle est faite par et pour les hommes, apparaît ici comme une vengeance contre l’autre Histoire, la grande, celle, impersonnelle, qui est décidée à l’avance et s’impose à l’homme comme une force extérieure sur laquelle il n’a aucune emprise. L’histoire du roman, prétend Kundera, est une histoire personnelle, née des créations de l’homme et de ses choix.
Le Crachoir de Flaubert invite ses lecteurs à effectuer le compte rendu des ouvrages listés ci-dessous, selon leurs champs d’intérêt et leur expertise. Les collaborateurs intéressés doivent d’abord envoyer une proposition […]
Le rapport au théâtre de la metteure en scène est en fait semé de paradoxes. Même si elle peut parfois être « en panne de désir artistique » (p. 18), Haentjens éprouve une dépendance à la création allant jusqu’à « troubler le sommeil et toutes les autres fonctions organiques » en envahissant son « espace mental » (p. 31).
Dans l’esprit de Laferrière, l’écriture sert donc à transmettre, de la façon la plus simple et la plus pure possible, l’image ou l’émotion qui précède la rédaction du roman. Les mots deviennent des instruments qui servent à livrer un message. Le parallèle que l’écrivain établit entre la musique et l’écriture va en ce sens. Dans un cas comme dans l’autre, nous sommes à la recherche de ce qui dépasse les instruments, ou les mots, afin de découvrir « quelque chose qui provient du plus profond de soi-même » (p. 119).