Les souvenirs au creux d’une poche
Dans ta marche solitaire, tu prenais tout l’espace autour de toi en un grand souffle dans tes poumons, tu te gonflais de neige, tu étais une avec l’hiver.
Dans ta marche solitaire, tu prenais tout l’espace autour de toi en un grand souffle dans tes poumons, tu te gonflais de neige, tu étais une avec l’hiver.