Mettre les voiles
Tout ça c’était un accident. La trace des mouvements de mes genoux, de mes coudes, de tous mes angles sur les murs d’un cubicule trop serré. Maintenant, un seul mur suffit souvent. Sûrement que c’est ça, le métier qui rentre.
Tout ça c’était un accident. La trace des mouvements de mes genoux, de mes coudes, de tous mes angles sur les murs d’un cubicule trop serré. Maintenant, un seul mur suffit souvent. Sûrement que c’est ça, le métier qui rentre.
Tout ça c’était un accident. La trace des mouvements de mes genoux, de mes coudes, de tous mes angles sur les murs d’un cubicule trop serré. Maintenant, un seul mur suffit souvent. Sûrement que c’est ça, le métier qui rentre.