ès arts

Par |2011-06-10T10:03:33-05:0010 juin, 2011|Poésie, Textes de création|

Là où tous les autres se brûlent dans l’acidité du mal du siècle Là où tous les autres s’évanouissent devant les hurlements des festins nus Lui seul et ses doigts portemanteau réaniment enfin la littérature à refaire