Vivre de la poésie
À un rythme erratique, laissant parfois passer de longs moments entre les entrées, Uguay raconte sa grande passion pour Paul, son médecin traitant, sa difficulté à apprivoiser son corps à la suite de son amputation et sa détresse devant la mort. Le Journal se veut toutefois davantage une réflexion sur la vie, qu’Uguay ne peut dissocier de la création littéraire.