Fil d’Ariane
L’eau est de plus en plus opaque. J’ai du mal à distinguer mes pieds. Libre d'attaches, j'atteins le fond de ce qui était le couloir. Derrière la carcasse de ce qui devait être une commode, dans un cadre minutieusement orné, une porte se dresse au garde-à-vous. Quelque chose, dans cette épave, que je ne connais pas. Que personne ne connaît. Elle est verrouillée.