seulement deux
petits jours de rosée
un autre silence guttural
hante mes semelles
les tapisseries qui rebondissent
mes murs sans fin
qui donnent aux étangs
l’envie de se pendre
l’envie de se pendre
à chaque cathédrale affaissée
chaque sursaut de mort qui s’écroule
décimant les épargnés
à canons de peur
j’ai un peu plus de glace au creux des mains
un peu moins d’air
dans mes quatre murs
venez donc m’aspirer de vos cascades de maladies
il ne me reste plus
de carreaux à compter