Le Crachoir de Flaubert s’achemine petit à petit vers l’âge de raison. Nous célébrons aujourd’hui la fin d’un deuxième mois d’existence; deux mois marqués par près d’une quinzaine de textes fort intéressants abordant la création littéraire par divers chemins : la poésie, le récit, la nouvelle et la réflexion en registre plutôt essayistique.
Merci à tous nos collaborateurs et à nos nombreux lecteurs qui, parfois, ont été jusqu’à oser le commentaire permis par la plateforme web sur laquelle nous publions. Cet esprit de partage et de discussion est au coeur de notre démarche et nous incitons tous nos lecteurs à faire de même et à réagir aux textes publiés en les commentant ou en nous soumettant à leur tour un texte que notre comité de rédaction se fera un plaisir d’évaluer. À cet effet, il faut consulter notre appel de textes, qui en dit davantage sur les contributions que nous souhaitons attirer.
Bien que les textes publiés sur Le Crachoir soient fort différents les uns des autres, nous n’avons toujours pas « épuisé » le spectre des possibilités : ainsi, nous tenons à rappeler aux éventuels collaborateurs que nous acceptons les propositions concernant toutes les sphères de la création à l’université : danse, théâtre, bande dessinée, arts visuels, architecture, animation, arts médiatiques, etc. Le Crachoir de Flaubert souhaite en effet se positionner au carrefour de la recherche et de la création, à la croisée des différentes formes d’expression artistique, débordant ainsi du cadre strictement littéraire pour embrasser tous les champs de la création à l’université.
C’est avec beaucoup de félicité que l’équipe du Crachoir entrevoit l’avenir de la revue. Merci à nos collaborateurs et à nos lecteurs d’avoir si rapidement cautionné notre projet.